Ce roman m'a généreusement été offert par les éditions Thierry Marchaisse dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio. Et je les remercie très vivement.
Avant cette opération, je ne connaissais pas du tout ce titre. La couverture m'a attirée, je l'ai trouvée magnifique. Tout de suite, le sujet m'a grandement intéressée.
La guerre d'Algérie ! J'ai dans ma famille quelques membres qui y ont participé mais il plane un mystère autour de cet épisode. Un tabou, personne n'en parle... Et moi j'ai envie de savoir !
Alors, j'ai pensé que ce livre serait pour moi l'occasion d'en savoir plus, de m'immiscer dans cette atmosphère. Je voulais assouvir ma curiosité.
Bon, c'est terrible, c'est pleine d'enthousiasme que je me suis lancée dans cette lecture mais celui-ci est tombé tout de suite. Je n'ai pas du tout été prise dans l'histoire. Je n'ai pas réussi. J'ai ensuite lu quelques critiques et je me suis rendu compte qu'elles sont très bonnes. Ce roman est de qualité (je n'en doute pas) mais moi, je n'y arrive pas et j'en suis vraiment désolée. J'ai l'impression de passer à côté de quelque chose mais bon...
Edgar Grion est un militaire breton qui s'engage dans le conflit algérien. C'est un engagement qui n'est pas vraiment mûri, Edgar cherchant surtout, par son engagement, à provoquer son père. Ce dernier est en effet un communiste luttant pour l'indépendance de la Bretagne.
Edgar va donc arriver en Algérie, sans bien savoir à quoi s'attendre. Très vite, il s'intéresse à ce peuple algérien, lie des contacts et se trouve confronté à de sérieux cas de conscience. Comment obéir aux ordres qu'il reçoit de l'armée sans perdre ses convictions ?
C'est vraiment un sujet intéressant et je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire.
Je garde précieusement ce livre, peut-être qu'un jour viendra le moment où je serai prête pour cette lecture.
Encore merci aux éditions Thierry Marchaisse et à Babélio.